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.Pour éviter les ambigüités  comme elles sont survenuespar la suite  il fallait faire au moins deux textes: l un doctri-nal et l autre de considérations pastorales.Malheureuse-ment l idée du texte doctrinal fut exclue.Le card.Felici lui-même a dû l admettre: «Il y a en vérité beaucoup d équi-voques dans les textes du Concile»!Cela fait comprendre la situation où nous nous trouvonsactuellement.Cet esprit  post conciliaire a provoqué desrébellions dans le clergé, a soulevé des contestations et nourrides aberrations théologiques et liturgiques.Et on ne peut pas dire que  l après concile n a rien à fai-re avec le concile.Ce serait puéril et grotesque, car en effet, lapremière nécessaire conséquence d un Concile doit être uneaugmentation de la foi.C est sur la Foi et la Tradition qu ilfaut en effet toujours reconstruire la chrétienté, et naturelle-ment sur des textes de foi sûre, non ambigüe, non douteuse,187 non incertaine ou contradictoire.Voilà le problème que pose Vatican II au spécialiste dethéologie.Prenons par exemple la  Gaudium et Spes et la Liberté religieuse qui portent en elles une contradiction in-terne tout à fait évidente.C est ce qu a fait le Modernisme, lequel, après avoirdonné une forte secousse à l unité de la foi, est en train d enfaire autant contre l unité de Gouvernement en étouffant lastructure ecclésiale.La nouvelle doctrine de la  Collégialité suggérée parla  Lumen gentium et reprise ensuite dans le  nouvel Es-prit Canonique est justement la doctrine du double  pou-voir , déjà condamnée comme erreur janséniste par la Bulle Auctorem fidei de Pie VI3 et par l encyclique  Satis co-gnitum de Léon XIII.4C est notre devoir de rappeler ce que les Pères conciliairesde Vatican I déclarèrent:«Nous, pour la défense, la conservation et lacroissance du troupeau catholique, croyons né-cessaire de proposer à tous les fidèles, confor-mément à la foi antique et constante de l Égliseuniverselle, la doctrine qu ils doivent croire etconserver sur l institution, la perpétuité et lanature du saint Primat Apostolique, sur lequels appuie la force et la solidité de toute l Égliseet de proscrire et condamner les erreurscontraires si dangereuses pour le troupeau duSeigneur».(DZ 3052)De même, l institution de la Primauté dans la personnede saint Pierre est plus que claire dans Vatican I:3Cfr.Vaticano I, Dz.3055.4Cfr.Leone XIII.188 «Nous enseignons donc et déclarons, selon lestémoignages de l Évangile, que la primauté dejuridiction sur toute l Église de Dieu, a été pro-mise et conférée immédiatement et directementau bienheureux apôtre Pierre par le Christ Sei-gneur& et qu à Simon Pierre seulement, Jésus,après sa résurrection, conféra la juridiction depasteur et chef suprême sur tout son bercail, luidisant:  Pais mes agneaux ,  Pais mes bre-bis »5.(Dz 3053)Méconnaître ceci ou en douter veut dire tituber dans notrefoi en la Pierre d angle qui est le Christ.En effet cette dé-gradation de l autorité dans l Église a changé la formule  cumPetro et sub Petro capite en celle de  Collégialité.Mais nous devons suivre la première formule si nous vou-lons que notre vie chrétienne vaille encore la peine d être vécue.Comme nous l avons vu, la  collégialité épiscopale estune doctrine qui attaque la Constitution divine de l Église,pour la transformer de monarchie en démocratie, attribuant lepouvoir suprême non seulement au Pape, mais aussi au col-lège des évêques.Après avoir ébranlé l unité de la Foi, les modernistes s ef-forcèrent d ébranler l unité de gouvernement et la structurehiérarchique de l Église.La doctrine déjà suggérée par les documents  Lumen gen-tium de Vatican II, fut reprise par le nouveau  Droit Ca-non (can.336), une doctrine selon laquelle le collège desévêques uni au Pape, jouit de la même manière du pouvoir su-prême dans l Église et ceci de façon habituelle et constante.Mais cette doctrine du double pouvoir est contraire à l en-seignement et à la pratique du Magistère Ecclésiastique,spécialement du Concile Vatican I (Dz.3055) et de l ency-5Dans ce passage, les Pères conciliaires citèrent: Jn.1,42; Mt.16, 16-1;Jn.21, 15-17.189 clique  Satis cognitum de Léon XIII.Donc seul le Pape ace pouvoir suprême qu il communique dans la mesure où il lejuge opportun et dans des circonstances extraordinaires.C est de cette erreur que découle l orientation démocra-tique ecclésiale qui consiste a donner les pouvoirs au  peuplede Dieu , comme c est affirmé dans le nouveau Droit Ca-non.C est l erreur janséniste condamnée par la Bulle Auctorem fidei de Pie VI (Dz.3161), dans le nouveauDroit Canon (can.447).Malheureusement cet intervention sur la collégialité futintroduite dans l Église pour ce qui concerne les pouvoirsrelatifs du Pape et des Évêques.Il fut tout de suite clair quele but visé était d affirmer une collégialité permanente quidevait obliger le Pape à ne pas agir, sinon entouré d un Sé-nat participant à son pouvoir de façon habituelle et per-manente, dans le but de diminuer dans les faits, l exercicedu pouvoir papal [ Pobierz caÅ‚ość w formacie PDF ]
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